Cependant, elle partage une histoire et une culture commune avec le reste de l'Irlande. Il peut également convoquer un « Comité des privilèges » à la demande du Sénat et après consultation du Conseil d'État. Le président exerçait ainsi certains pouvoirs qui sont généralement exercés par les chefs d'État, mais qui pourraient tout aussi bien être exercé par un gouverneur ou une gouverneur-général (notamment, la nomination du gouvernement et la promulgation des lois). Au cours de sa présidence, elle a mis l'accent sur les besoins des pays en développement, en liant l'épisode de la Grande Famine aux problèmes actuels de nutrition, de pauvreté et de politique, afin de créer un partenariat entre les pays développés et les pays en développement. Au cours des années, il y a eu beaucoup de suggestions pour réformer le poste de président. La résidence du président est protégée en permanence par des gardes armés et est entourée par une barrière de sécurité. Par conséquent, entre minuit et l'investiture du lendemain, les devoirs et les fonctions présidentiels sont exercés par la Commission présidentielle. Toutefois, depuis les années 1990 et notamment depuis l'accord du Vendredi saint en 1999, le Président s'est régulièrement déplacé en Irlande du Nord. Il a également vu le stade national. Ce pouvoir permettrait au président d'intervenir si, dans des circonstances extraordinaires, les procédures ordinaires de convocation des chambres avaient échoué. Joe Biden et des membres du Congrès des deux partis ont accusé le gouvernement britannique de menacer l'accord du Vendredi saint sur la paix en Irlande du Nord, en compromettant l'accord de retrait du Royaume-Uni de l'UE. Il accréditait également les ambassadeurs et recevait les lettres de créance des diplomates étrangers. Le président d'Irlande n'a pas de vice-président. La candidature à la charge présidentielle est ouverte à tous les citoyens irlandais âgés de plus de 35 ans[12]. Le président se déplace dans une limousine Mercedes-Benz Classe S LWB. Il est élu par les députés au cours d'un vote transcommunautaire et dispose de trois adjoints. La controverse vient du fait que derrière l'appellation de « président d'Irlande », il est sous-entendu que le président est à la tête de toute l'Irlande. Il est élu par les députés au cours d'un vote transcommunautaire et dispose de trois adjoints. Il existe néanmoins une assemblée à Belfast qui travaille en coopération avec le parlement du royaume uni. Controverse sur les prérogatives en Irlande du Nord, Controverse sur l'identité du chef d'État au début de la République, Affaire du vol du train de Sallins. Robinson a cherché à développer un nouveau sens dans le domaine économique et dans les liens politiques et culturels avec les autres pays et cultures, notamment ceux issus de la diaspora irlandaise. Bien que le titre de Président affirme implicitement son autorité en Irlande du Nord, en réalité, le Président irlandais doit obtenir la permission du gouvernement pour se rendre en Irlande du Nord. La République d’Irlande est une nation souveraine indépendante, c’est-à-dire qu’elle a un président, aujourd’hui Michael D. Higgins et un premier ministre, Leo Varadkar. La création de l'Assemblée d'Irlande du Nord sous sa forme actuelle remonte à l'accord du Vendredi saint, signé en février 1998 par les protagonistes nationalistes et unionistes du conflit nord-irlandais.L'accord prévoit la création d'une assemblée de 108 membres, élus au scrutin proportionnel sur le territoire nord-irlandais [2]. Mais l'Irlande du Nord ne se limite pas à sa côte. Dans le cas où elle est approuvée par une majorité des deux-tiers, le président est officiellement mis en accusation. La déclaration présidentielle apparaît dans l'article 12.8 de la Constitution : La Constitution prévoit deux moyens par lesquels le président peut être démis de ses fonctions avant l'expiration de son mandat. Il existe des interprétations différentes de la Constitution qui existe sous deux formes : une en irlandais et l'autre en anglais. En tant que chef de l'État irlandais, le président reçoit le plus haut niveau de protection du pays. L'ensemble de l'Irlande du Nord fait partie de la province d'Ulster. Du côté nord de la frontière en revanche, on reconnait lautorité de la Reine. En conséquence de quoi, le gouvernement de la République d'Irlande refusa de participer aux fonctions royales par la suite. Néanmoins un candidat doit être parrainé soit par un minimum de vingt membres des Oireachtas (le Parlement national), soit par au moins quatre conseils municipaux ou conseils de comté ou alors se présenter personnellement (dans le cas d'un président en exercice ou d'un ancien président n'ayant accompli qu'un seul mandat)[12],[2]. Ces présidents ont également assisté à des fonctions officielles en compagnie de la princesse royale. La résidence officielle du président est Áras an Uachtaráin à Dublin. Les ministres sont congédiés sur le conseil du Taoiseach et celui-ci doit démissionner après avoir perdu la confiance de l'Assemblée, à moins qu'il n'y ait une dissolution. Par ailleurs, après consultation du Conseil d'État et à condition que le texte soit approuvé en bloc par le gouvernement, le président peut s'adresser ou envoyer un message à la Nation. Le président de l'Irlande (en anglais : President of Ireland ; en irlandais : Uachtarán na hÉireann) est le chef d’État de l'Irlande. Ses bureaux se trouvent installés dans les Parliament Buildings, sur la propriété de Stormont, à Belfast. En 1993, le Comité aux droits de l'homme de l'Organisation des Nations unies a exprimé sa préoccupation sur le fait que, en raison de son langage religieux, cette déclaration équivaut à une obligation religieuse pour prendre sa fonction. L'Irlande du Nord est partie constituante du Royaume-Uni. Le président Seán T. O'Kelly déclina également l'invitation à assister à la Garden Party du couronnement à l'ambassade de Grande-Bretagne, en 1953. Si seulement un des candidats est nommé, il (ou elle) est réputé(e) élu(e) sans la nécessité de tenir un scrutin[12]. Le président peut également utiliser à sa convenance de tous les avions du Corps aérien irlandais, en cas de besoin. En effet, d'après la Constitution, le Taoiseach (Premier ministre) est tenu de démissionner s'il a « cessé de conserver l'appui de la majorité » de l'Assemblée, à moins qu'il ne demande au président de dissoudre le Dáil. Le président peut notamment refuser de dissoudre le Dáil Éireann. La durée du mandat présidentiel, fixée à sept ans, s'est inspirée de la durée de ceux des présidents allemand et autrichien. En 1996, le Groupe de révision constitutionnelle a effectué une recommandation en faveur d'un maintien des prérogatives du Président. Les candidats sont ensuite annoncés, soutenus, puis acceptés par le doyen d'âge. Alternativement, de nombreux journalistes ont suggéré qu'une pétition de citoyens, par au moins 10 000 électeurs inscrits, pourrait être une autre méthode pour proposer un candidat à la présidence. Si une majorité des membres du Sénat et un tiers des membres de l'Assemblée signent une pétition en ce sens, le Président peut refuser de promulguer une loi, après consultation du Conseil d'État, à l'exception des projets de loi visant à modifier la Constitution. En décembre 1969, Brian Faulkner charge Patrick Macrory d’un rapport soumettant des recommandations sur l’amélioration du gouvernement local nord-irlandais. Il s'agit d'un bâtiment de quatre-vingt-douze chambres qui servait autrefois de résidence « hors saison » au Lord lieutenant d'Irlande et de résidence à deux des trois gouverneurs généraux de l'État libre d'Irlande : Timothy Michael Healy et James McNeill. Alors que les citoyens irlandais et britanniques résidents dans le pays peuvent voter aux élections du Dáil Éireann (chambre basse du Parlement), seuls les citoyens irlandais de plus de dix-huit ans peuvent voter à l’élection présidentielle. En raison de la non-tenue d'une élection présidentielle en 2004, de nombreux hommes politiques ont suggéré qu'il devrait être plus facile d'obtenir une nomination à la présidence. Alternativement, le président peut être démis de ses fonctions par les deux chambres de l’Oireachtas, mais uniquement dans le cas d'une « conduite déplacée avérée »[15] Si au moins trente membres de l'une des deux chambres de l'Oireachtas le propose, la demande de mise en accusation est examinée par la chambre requérante. Le Royaume-Uni et l'Union européenne ont aplani mardi leurs différences sur l'Irlande du Nord, levant un sujet de dissensions. Celui-ci, remis en juin 1970, est partiellement repris dans des dispositions du Local Government Act (Northern Ireland) 1972 [n], une loi qui réforme profondément le gouvernement local en Irlande-du-Nord [17], [18]. Le président de l'Assemblée nord-irlandaise (Speaker of the Northern Ireland Assembly, en anglais) est le député chargé de présider l'Assemblée nord-irlandaise. Jusqu'à maintenant, tous les présidents ont effectué cette déclaration en irlandais. Toutefois, aucune modification ne fut apportée à la Constitution. Il arrive parfois que les gens s'adresse oralement au président en utilisant « Votre Excellence » (A Shoilse, [ə hɘʎʃ̪ʲə]), ou tout simplement par le terme « président » (A Uachtaráin, [ɘ uːəxt̪ˠɘɾaːn̥]). La nouvelle popularité du Sinn Féin n’a pas grand-chose à voir avec tout ça. Ceci lui permit de se présenter librement, sans être le candidat d'un parti spécifique. Hillery, en tant que commandant en chef des Forces de défense, enregistra la menace dans le dossier de Barber et y inscrivit que Barber n'agissait que sur son ordre express[9]. Les lacs et les grottes souterraines de Fermanagh regorgent de mythes et de mystères. Site internet de l'Assemblée nord-irlandaise, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Président_de_l%27Assemblée_d%27Irlande_du_Nord&oldid=167142977, Portail:Politique britannique/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Pour cette raison, lorsqu'il existe un consensus entre les partis politiques, le président peut être « élu » sans qu'un scrutin n'aie lieu à proprement parler. En outre, le président représente l'État pour les Affaires étrangères, sur les conseils du gouvernement[2]. Un vote a ensuite lieu, au cours duquel s'applique le vote transcommunautaire. Élisabeth II et Mary Robinson ont même conjointement organisé une réception au palais St. James, à Londres en 1995, pour célébrer le cent cinquantième anniversaire de la fondation des Queen's Colleges en 1845 (ils sont désormais connus sous le nom d'Université Queen's de Belfast, d'University College Cork et d'université nationale d'Irlande à Galway). Cependant, malgré les modifications apportées aux articles 2 et 3 de la Constitution dans le cadre de l'Accord du vendredi saint, le titre du poste reste toujours « Président d'Irlande » car la Constitution irlandaise stipule que le nom officiel de l'État est simplement « Irlande » et que le terme de « République » n'est qu'une simple description. Ainsi, il nomme notamment les ambassadeurs et reçoit les lettres de créance des diplomates étrangers. Ainsi, l'ancien Tánaiste (vice-Premier ministre), Mary Harney, suggéra que la présentation d'un candidat à la présidence puisse être réalisée par cinq à dix Teachtaí Dála ou sénateurs (au lieu de 20 actuellement). Dans l'intervalle, les devoirs et les fonctions du président sont exercés par une vice-présidence collective, connue sous le nom de Commission présidentielle, qui se compose du président de la Cour suprême, du président de l'Assemblée d'Irlande et du président du Sénat. Ce différend a été largement oublié ces dernières années. Toutefois, elle suggéra que la Constitution soit modifiée pour faire apparaître de manière explicite que le président était le chef de l'État (à l'heure actuelle, le terme ne figure pas dans le texte) et que l'on envisage l'introduction d'un système de vote de confiance au Dáil, sur le modèle de celui qui existe en Allemagne. Toutefois, à ce jour, le Conseil n'a jamais eu à prendre ce rôle. Parfois considéré comme partiellement ou entièrement en Asie, en fonction de la définition. Toutefois, ce pouvoir ne peut pas être utilisé dans le cas de projets de loi de finances, de projets de loi visant à modifier la Constitution ou de projets de loi urgents dont la durée d'examen a été abrégée par le Seanad Éireann (chambre haute du Parlement). Cette mesure n'a été utilisée qu'une seule fois, dans le cas de Nicky Kelly[5],[6]. Il y a quelques jours, elle a reçu un faire-part venu tout droit d’Irlande du Nord pour lui annoncer la naissance d’un petit garçon, le 21 octobre, à la maternité du Royal Hospital de Belfast. Le président de l'Assemblée nord-irlandaise (Speaker of the Northern Ireland Assembly, en anglais) est le député chargé de présider l'Assemblée nord-irlandaise.Il est élu par les députés au cours d'un vote transcommunautaire et dispose de trois adjoints. À ce jour, aucune de ces deux procédures de révocation du Président n'a pas encore été invoquée. Ce pouvoir a été utilisé à deux reprises : par Erskine Childers, en 1974, et par Mary McAleese en 2001. Le nouveau président élu américain Joe Biden a fait part de son inquiétude relative aux conséquences du Brexit sur la paix en Irlande du Nord lors d’une conversation téléphonique d’une vingtaine de minutes avec le Premier ministre britannique Boris Johnson mardi. En effet, dans l'article 3 de la Constitution, l'État irlandais déclare explicitement qu'« en attendant la ré-intégration du territoire national », son autorité ne se limite qu'à la République d'Irlande et ne s'applique donc pas à l'Irlande du Nord. Le Parlement a été 30 Mars suspendu 1972 et le officiellement aboli en 1973 avec le Loi constitutionnelle de 1973 en Irlande du Nord. Au cours de la période allant de 1937 à 1949, il n'était pas clair d'un point de vue juridique si le chef de l'État irlandais était en fait le président d'Irlande ou George VI, le roi d'Irlande. Ce pouvoir ne s'exerce que sur conseil du Taoiseach. Le Premier ministre est nommé sur proposition du Dáil Éireann. La Constitution habilite également le Conseil d'État, statuant à la majorité de ses membres, à « prendre toutes dispositions qui leur sembleraient nécessaire » à l'exercice des fonctions présidentielles dans les cas que la constitution n'aurait pas prévus. Il se compose des quatre premières mesures suivies par les cinq dernières, sans les paroles[24]. Bien qu'il n'existe plus aujourd'hui d'ambiguïté sur sa compétence au sein de la seule République d'Irlande, elle est toutefois considérée par de nombreux nationalistes du Nord comme leur président et ils prennent position pour que le droit de vote aux élections présidentielles soit étendu à l'ensemble de l'île. Le président est élu au suffrage universel à bulletin secret par un système de vote alternatif, issu du système de scrutin à vote unique transférable[11]. Depuis le 7 Juin, 1921-30 Mars 1972, le parlement en Irlande du Nord a été le Parlement d'Irlande du Nord, qui a choisi presque toujours la Parti unioniste d'Ulster (UUP) pour gouverner la région. Le gouvernement irlandais a annoncé qu'il pourrait pardonner le déserteur de l'. Le président est élu au cours de la réunion inaugurale de l'Assemblée, qui suit la tenue d'élections. May God direct and sustain me. Le président nouvellement élu, ou réélu, supervise ensuite l'élection de ses trois adjoints. L'apparente contradiction entre les versions irlandaise et anglaise de la Constitution a dissuadé les présidents d'utiliser ce pouvoir et a conduit à une très stricte application d'une politique de non-contact avec l'opposition. Depuis sa création, ce consensus ne s'est produit qu'à six reprises. Il est élu pour sept ans, renouvelable une fois, au suffrage universel direct . La nouvelle a soulagé l’Irlande, en première ligne du choc qui s’annonce le 31 décembre prochain, quand le Royaume-Uni va sortir du marché unique et de l’union douanière. La Cour suprême juge alors de sa constitutionnalité dans sa totalité et le Président peut décider de ne pas signer le projet de loi si elle est jugée inconstitutionnelle. En English: In the presence of Almighty God I do solemnly and sincerely promise and declare that I will maintain the Constitution of Ireland and uphold its laws, that I will fulfil my duties faithfully and conscientiously in accordance with the Constitution and the law, and that I will dedicate my abilities to the service and the welfare of the people of Ireland. C'est le pouvoir de réserve le plus largement utilisé et il a été utilisé par six des huit présidents (les présidents Patrick Hillery et Mary Robinson l'ont utilisé à plusieurs reprises). Par ailleurs, le président est le commandant suprême des forces de Défense[3], ce qui est assimilable au statut de Commandant en chef. Histoire Création. En fait, l'Irlande du Nord comprend les comtés à majorité protestante tandis que la République d'Irlande au sud est à majorité catholique. Le président peut, après consultation du Conseil d'État, soumettre un projet de loi à la Cour suprême pour étudier sa constitutionnalité. M. Biden, dont les racines sont irlandaises, réitéré son soutien aux « accords du Vendredi saint » de 1998. Il est en outre chargé de présider la commission de l'Assemblée, qui assure la gestion administration du corps législatif nord-irlandais, et le comité des affaires parlementaires. Selon l’âge et les aspirations, l’Irlande du Nord évoque tantôt la construction navale, une politique mouvementée ou encore les … histoire parlements précédents. En conséquence, on considère généralement qu'il est inapproprié pour le Président d'être contacté par les dirigeants des partis politiques dans le but de l'influencer pour qu'il (ou elle) utilise son pouvoir discrétionnaire. Ainsi, les autres partis pouvaient éviter de lui présenter un opposant, sans perdre la face. En fait, l'Irlande du Nord comprend 6 des 32 comtés irlandais. Les traités étaient donc signés au nom du « roi d'Irlande». De nombreuses personnes font valoir que Mary Robinson, le septième présidente d'Irlande, a libéralisé un poste qui était auparavant conservateur, au cours de son mandat de 1990-1997. Grande -Bretagne et d'Irlande du Nord de l'Union européenne et de la Communauté européenne de l'énergie atomique ... des négociateurs, convenu entre la Première ministre, Mme May, et le président de la Commission européenne, M. Juncker, le 11 mars 2019 … Le président ne peut alors refuser la dissolution que si le Taoiseach a perdu la confiance du Dáil Éireann[2]. En cas de vacance prématurée du pouvoir, un successeur doit être élu dans les soixante jours. Toutefois, la durée des mandats des chefs d'État de ces deux pays n'est plus de sept ans aujourd'hui. L'actuel président, Michael D. Higgins, est en poste depuis le 11 novembre 2011. Mary McAleese, qui fut la première présidente d'Irlande originaire d'Irlande du Nord, a continué ce processus de détente engagé par Mary Robinson. Dans le cadre de la constitution et de la loi statutaire, l'élection d'un candidat se déroule officiellement sous la forme d'une déclaration par le président du bureau de vote. Les ministres signent les traités internationaux au nom du président. Pour maintenir la paix en Irlande du Nord, ici, on compte aussi sur le nouveau président américain. Pour bon nombre de spécialistes, représenter un État à l'étranger est considéré comme la principale caractéristique d'un chef d'État. Si cette chambre décide à la majorité des deux-tiers que le président est coupable des faits qui lui sont reprochés et que ces faits sont suffisamment graves pour justifier sa destitution, elle peut alors le démettre de ses fonctions[15]. Selon les juristes, la version irlandaise qui fait état du « propre arbitre » du Président implique que celui-ci doit prendre ses décisions seul, sans consultation extérieure, alors que la version anglaise qui parle d'« absolue discrétion » semble permettre au président une liberté de manœuvre, comme celle de consulter l'opposition. Un système tout à fait familier donc. Ces commentaires ont provoqué l'indignation parmi les hommes politiques unionistes et McAleese s'est excusée par la suite et a reconnu que sa déclaration était déséquilibrée[22]. La République dIrlande a un président élu pour sept ans, un premier ministre (Taoiseach, à vos souhaits) et un parlement à deux chambres. Il est élu pour sept ans, renouvelable une fois, au suffrage universel direct[1]. Jusqu'à la présidence de Mary Robinson, le gouvernement a régulièrement refusé aux présidents successifs toute autorisation de se rendre en Irlande du Nord. Son rôle de faiseur de roi à Westminster est désormais caduc. Cela permet d'éviter que le Sénat ne retarde un projet de loi que le gouvernement considère comme urgent. La dernière modification de cette page a été faite le 6 février 2020 à 19:42. Si ce système était introduit, il serait largement redondant avec le pouvoir de refuser une dissolution du Dáil que détient le président et pourrait donc être retiré de la Constitution. Le salut au président d'Irlande se fait sur la musique de l'hymne national d'Irlande, Amhrán na bhFiann. Cette implication a été contestée non seulement par le Parti unioniste d'Ulster, mais aussi par le Royaume-Uni qui était l'État internationalement reconnu comme étant souverain en Irlande du Nord. Le Conseil d'État peut donc être considéré comme le troisième organe dans la ligne de succession. Sur les conseils du gouvernement britannique, les lettres de créance de la reine Élisabeth pour la nomination des ambassadeurs du Royaume-Uni en Irlande n'étaient pas adressées au « président d'Irlande », mais au président en personne (par exemple: « président Hillery »). gouverneurs généraux de l'État libre d'Irlande, représentation proportionnelle à scrutin de liste, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Président_de_l%27Irlande&oldid=177031898, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Cependant, Mary McAleese a été critiquée à d'autres occasions pour certaines de ses interventions, comme celle où elle fait référence à la façon dont les enfants protestants en Irlande du Nord sont poussés à haïr les catholiques, tout comme les enfants allemands ont été encouragés à haïr les Juifs sous le régime nazi, le 27 janvier 2005, à la suite de sa participation à la cérémonie commémorant le soixantième anniversaire de la libération du camp de concentration d'Auschwitz[20],[21]. Le candidat qui recueille la majorité des voix unionistes et nationalistes est déclaré élu et prend la présidence de l'Assemblée. Haughey est même allé jusqu'à menacer Barber de mettre fin à sa carrière si ses appels n'étaient pas acheminés. En outre, le président est limité dans son action par certaines dispositions. La Constitution de l'Irlande prévoit un système parlementaire de gouvernement, en vertu de laquelle le rôle du chef d'État est largement cérémoniel. Finalement, leur candidat, Tom O'Higgins, échoua à un cheveu de la victoire. Elle a d'ailleurs reçu le Prix humanitaire CARE en reconnaissance de ses efforts pour ce pays. Dans le nord-est de l’Irlande, les six comtés de l’Irlande du Nord constituent le plus petit pays du Royaume-Uni, mais également le plus visité. Ce comité a pour but de résoudre un différend entre les deux chambres de l’Oireachtas (Parlement), notamment pour savoir si un projet de loi est, ou non, un projet de loi de finances[10]. Contrairement à Seán O'Kelly en 1952, de Valera fut renommé en 1966 par le Fianna Fáil. Cette période de confusion a pris fin en 1949, lorsqu'il fut déclaré que l'État était une république. Enfin, le Président à le pouvoir de grâce[4]. Alors que les présidents précédents étaient très précautionneux lorsqu'il s'agissait de faire un discours devant un public (il le soumettait à chaque occasion au Gouvernement), les présidentes Robinson et McAleese se sont davantage servi de leur droit d'expression, sans l'approbation du gouvernement. Ses bureaux se trouvent installés dans les Parliament Buildings, sur la propriété de Stormont, à Belfast. Bien que la version irlandaise soit prééminente en cas de conflit d'interprétation, celle-ci n'est pas aussi bien rédigée d'un point de vue légal. La souveraine a salué la présence du président Higgins et exprimé l'espoir d'un "avenir plus stable" entre les deux pays. Il y a plusieurs différences entre l’Irlande et l’Irlande du Nord, et la politique en fait partie. Cependant, il ne s'agit là que d'une consultation et le Président n'est pas tenu d'agir conformément à l'avis du Conseil. Le président possède des pouvoirs qu'il peut exercer « à sa discrétion absolue » (chomhairle Féin) d'après la Constitution. Lorsque plus d'un candidat est nommé, l'élection est « suspendue », de sorte qu'un vote puisse avoir lieu, permettant aux électeurs de choisir entre les candidats. Les efforts soutenus des hommes politiques d’Irlande du Nord, du Royaume-Uni et d’Irlande ont porté leurs fruits. Ce pouvoir n'a en pratique jamais été utilisé car le gouvernement détient presque toujours une majorité au Sénat, ce qui empêche au tiers du Dáil Éireann que forme l'opposition de remplir les conditions. La loi sur la République d'Irlande de 1948, entrée en vigueur en avril 1949, proclamait que le pays était une république et transférait le rôle de représentation de l'État à l'étranger, de George VI au président. La limousine présidentielle est toujours bleu marine et porte l'étendard présidentiel sur l'aile-avant gauche et le drapeau tricolore irlandais sur l'aile-avant droite. Le président de l'Assemblée nord-irlandaise (Speaker of the Northern Ireland Assembly, en anglais) est le député chargé de présider l'Assemblée nord-irlandaise. Lorsque la limousine présidentielle est en déplacement, elle est toujours accompagnée par un escadron de voitures (généralement, des Toyota Camrys conduites par des membres de la Branche spéciale) qui forme un convoi de protection autour de la voiture. Le président a également la possibilité de limiter la période au cours de laquelle le Sénat peut examiner un projet de loi, à la demande du Dáil Éireann et après consultation du Conseil d'État. Le président ne peut assurer ses fonctions que dans le strict respect de la Constitution ou de l'accord du gouvernement. La dernière modification de cette page a été faite le 27 novembre 2020 à 17:36. Ainsi, le président Hillery (1976-90) déclina l'invitation de la reine Élisabeth au mariage du prince Charles et de Lady Diana Spencer en 1981, sur les conseils du gouvernement. Il s'agit néanmoins d'une position nominale car le pouvoir est exercé sur les conseils du Gouvernement. Ainsi, à l'enterrement d'un enfant mort dans un attentat de l'IRA véritable à Omagh, elle a symboliquement parcouru les allées de l'église main dans la main avec le chef du Parti unioniste d'Ulster et du Premier ministre d'Irlande du Nord, David Trimble. Fait intéressant, l'accréditation fournie aux journalistes couvrant la visite indiquait la visite du « président d'Irlande ». Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est également le président qui promulgue les lois, en tant que troisième entité de l'Oireachtas. Le président de l'Irlande (en anglais : President of Ireland ; en irlandais : Uachtarán na hÉireann) est le chef d’État de l'Irlande. Au contraire, celui-ci est expressément dévolu au gouvernement (cabinet). Toutefois, avant de pouvoir exercer son pouvoir de réserve, le président doit consulter au préalable le Conseil d'État. On peut toutefois noter qu'en langue irlandaise, il serait plus correct de s'adresse à lui en l'appelant A hUachtaráin (vocatif). Ce dont Londres se défend. Quand on s'adresse à lui, on utilise normalement l'expression « Son Excellence » (en irlandais : A Shoilse / A Soilse). Ses bureaux se trouvent installés dans les Parliament Buildings, sur la propriété de Stormont, à Belfast.